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Rencontre avec Grégory PASSENHEIM, Ingénieur DevOps chez Talan Canada

Dans ce témoignage collaborateur, Greg revient sur son parcours, ses missions en tant que Ingénieur DevOps et un souvenir fort chez Talan.

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Peux-tu présenter ton parcours en quelques lignes ?

Dans les années 80, j’étais déjà bercé par des lignes de code. Je savais écrire mon prénom sur un clavier avant de savoir l’écrire sur papier ! Après le bac, mon grand-père m’a offert mon premier laptop, le ThinkPad d’IBM on était en 1996. S’en suit une solide formation de développeur, deux premières expériences en tant qu’interne, et un virage dans le consulting qui correspond maintenant à ma personnalité.

En 2015 à Paris, j’ai rencontré Christophe Castellani, à l’époque un des Partner de la BU Finances, actuellement CEO Talan North America
Au-delà de mes compétences techniques, il a su voir ce vers quoi je voulais évoluer : coordination, PMO, coaching. Je lui avais aussi évoqué mon intérêt par la dimension internationale de Talan. 

En2018, Talan m'a permis de venir travailler au Canada.

 

Quelles sont tes missions actuelles ?

Le C# est au BCPL*, ce que je suis au DevOps : un DevOps#, développeur touche-à-tout passionné qui s’adapte à tout contexte, ne se limitant pas à une technologie ou un langage, et cherchant à répondre au mieux aux attentes opérationnelles. Le tout avec une grosse dose de bonne humeur !

Mes premières années au Canada, j’ai utilisé toutes ces expertises au sein d’une équipe de support applicatif à la Société Générale.

Désormais à la BNP, ma mission répond encore mieux à mes aspirations et comporte toujours plusieurs facettes : coordinateur, référent technique, investigateur. Un super-héros “The Vigilant” en quelque sorte !

Cette partie connexe du métier joue un rôle central dans le succès de mes missions. Elle requiert beaucoup d’empathie, de curiosité et de réactivité.

 

3 mots pour présenter Talan ?

  • Famille : c’est la première idée qui me vient quand je pense à Talan. 
    Dans une famille, on a notre tonton préféré, la grand-mère qui parle toujours des mêmes choses, le grand frère à qui on peut se confier. 
    Benjamin, mon manager, est le grand frère Talan : il a pris le temps de m’appeler plusieurs fois par semaine dès le début de la Covid19, alors que j’étais coincé à Cuba sans solution pour revenir à Montréal (je pourrais en écrire un livre).
    Aujourd’hui, je me sais chanceux d’être dans une équipe soudée : je ne vais pas m'entendre avec tout le monde, mais nous avançons ensemble dans la même direction et surtout, ensemble avec nos différences.
     
  • Confiance : je peux échanger avec n’importe quel directeur ou manager en Amérique du Nord. Tantôt sincères et francs, tantôt empreints de conseils, nos échanges sont toujours sans détour, sans langue de bois. Ils ont confiance en moi tout comme j'ai confiance en eux, et on avance ensemble.
     
  • Ecoute : c’est le point fort des gens avec qui je travaille chez Talan au Canada. Talan connaît ma personnalité, mes compétences, mon envie d’aider mes collaborateurs. Je ne suis pas qu’un numéro !! 
     

 

Chez Talan, quel est ton terrain de jeu ? Comment arrives-tu à l'explorer ?

Mon terrain de jeu, aujourd’hui, c'est le développement multi-langage et la coordination. Cette passion, je la mets au service de mes clients, j’aime la partager lors de nos meetups, et je l'utilise pour des petits projets internes.

J’investis également un nouveau terrain de jeu : la RPA (Automatisation des processus métiers), qui me passionne depuis mes premiers scripts. Je suis engagé dans le développement de ces compétences au Canada, au travers de formations et de coaching internes. Talan m’a aussi proposé de prendre le lead sur des projets d’automatisation de processus manuels pour le Back Office. 
C’estextrêmement motivantcar cela met en pratique tout ce que j’aime: comprendre des difficultés rencontrées, analyser une situation avec un œil extérieur, chercher des solutions seul ou avec l’intelligence collective de Talan, confronter ses idées, mettre en œuvre des solutions, s’assurer que tout fonctionne … pour au final aider d’autres collaborateurs à améliorer leur quotidien.

Un autre terrain de jeu, tout aussi important : mes collègues sont extrêmement demandeurs d’évènements Talan hors travail : Je suis maintenant un membre actif de la ligue des “Happyness Officer”. Vous faites quoi la semaine prochaine ? :-)

 

Un souvenir fort depuis que tu es chez Talan ?

Le jour où, en 2016, Christophe Castellani m'a dit : « Te souviens-tu, il y a un an et demi, on avait parlé de ton envie de partir au Canada ? Il faut à tout prix que tu rencontres une collaboratrice, elle est établie au Canada et elle va venir à Paris.” 

J’avais évoqué ce point, en 2015, lors mon entretien d’embauche avec lui. 
J’ai réalisé à ce moment-là combien Christophe est à l’écoute et sait tenir ses promesses. Je réside au Canada depuis le 5 Février 2018.

 

Quelle personne t'inspire le plus ?

Lorsque j’étais au Crédit Agricole, en 2013, j’ai eu la chance de rencontrer Alain Bazzara, Architecte de domaine et chef d'équipe. Il a été le premier à m'accorder sa confiance et m‘a donné l’opportunité d’évoluer au-delà du domaine du développement.

Même junior sur le rôle de PMO et Coordination, Il a su voir en moi une appétence et des prédispositions pour trouver des solutions, coordonner des équipes et échanger avec les acteurs des projets. Il m'a donné ma chance. 

Ce véritable mentor m’a pris sous son aile, conseillé, montré les bonnes pratiques pour devenir ce que je suis aujourd'hui, chez Talan : un véritable Couteau Suisse-Canadien.

 

* " Basic Combined Programming Language", un langage de programmation des années 60, ancêtre du C